♣ akiwa ; school of witchcraft & wizardry.
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 I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies

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Im Nak Bin
Im Nak Bin
yy

pseudo : cymel
avatar : Yoon Eun Hye
messages : 18
double compte(s) : Lee Mookyûl
here since : 16/03/2012
points : 44377
âge : 33
patronus : un scorpion
animal de compagnie : un scorpion de race Heterometrus Spinifer nommé Antarès
my heart is : frozen
i'm feeling like : i'm cold and hollow
ma baguette : Elle mesure 22 centimètres, n'est pas flexible, possède un cœur de ventricule de dragon et est en bois de cèdre. Un vieux dicton dit qu'il est impossible de berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et ce n'est on ne peut plus vrai. En effet, le cèdre n'est à l'aise que dans le discernement et la perspicacité, et choisit son sorcier principalement en fonction de ces qualités-là. On retrouve également très souvent chez ces sorciers une très grande force de caractère, et un sens de l'amitié aiguisé - ils sont dignes de confiance et ne peuvent trahir ceux qu'ils chérissent. C'est une baguette de duel, et ce n'est pas recommandé de mettre son propriétaire en colère.. parce qu'avec elle, il part avec un très sérieux avantage.
wizard's spellbook :
I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies 1449q0x
FICHE LIENS


I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies _
MessageSujet: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeVen 16 Mar - 13:30

IM NAK BIN
featuring Yoon Eun Hye
je suis un personnage inventé
annyeong ! je me nomme Im Nak Bin et je suis née un 24 octobre 1990, j'ai donc 21 ans, et je suis en 7ème année. je suis une coréenne de sang-mêlé (demi-velane), et puisque je dois vraiment le dire... je suis ... et bien en fait, même si à la base je préfère clairement les homme, si ça peut m'apporter quelque chose, je n'aurais aucun scrupule à aller voir de l'autre côté de la rive. mon animal de compagnie est un scorpion de race Heterometrus spinifer et il se nomme Antares. autrement, dans la vie, plus tard, j'aimerais bien devenir Auror, ce pourquoi je me trouve ici aujourd'hui, j'imagine ? dans tous les cas, j'aimerais beaucoup rejoindre les rangs de... et bien en vérité, je m'en moque. Je n'ai pas d'apriori ou de préférence pour une maison en particulier. Et puis de toute façon, pour moi, que je sois envoyée dans l'une ou l'autre, ça revient du pareil au même.

laquelle de ces affirmations trouves-tu la plus véridique ?


je crois que pour avancer dans la vie, il faut savoir être le meilleur et ne jamais se décourager, toujours foncer et garder la tête haute.


peu importe la façon d'avancer, tant que c'est bien fait. évidemment, il faut travailler - j'imagine - mais tant que la perfection est atteinte au bout du compte, tous les moyens sont les bons.


le tout dans la vie, c'est d'être entouré des gens qui nous sont chers et ne pas hésiter à s'entraider. parce qu'une main tendue aujourd'hui... est un coup de pouce demain !


pour avancer dans la vie, peu importe les obstacles, il faut savoir leurs faire face avec calme et savoir-faire et toujours avoir les bons outils pour s’en sortir sans trop de dommage.


pour avancer dans la vie ? foncer dans le tas. non ce n'est pas vrai. suffit d'avancer lentement, un pied devant l'autre et d'écarter le moindre obstacle qui se pointe sur notre chemin. et si ça ne marche pas ? tant pis, on verra demain. mais je trouve toujours le moyen d'arriver à mes fins.

laquelle de ces expressions préfères-tu ?


rien ne sert de se désartibuler, il faut prendre son temps pour transplaner !

il ne faut pas faire pousser toutes les mandragores dans la même serre.

quitte à être pendu, mieux vaut que ce soit pour avoir volé un dragon plutôt qu'un mouton.

joyeux comme un détraqueur.


ne chatouillez pas le dragon qui dort.

lequel de ces mots t'inspires-t-il le plus ?


captiver.


draguer.


courtiser.


charmer.


conquérir.


si je devais monter un groupe, je serais...



piano électrique ! ou accordéon... ou... un truc dans le genre.


la guitare.


la basse.


la batterie.


le chanteur & leader.


mon type de sortilèges favori est...



élémentaires.


psychiques & émotionnels.


défensifs.


pratiques.


divers.


pour moi, un rendez-vous de rêve c'est...



tant qu'elle/il fout le camps après l'étape du lit et que j'en entends plus parler, ça sera parfait !


tout doit être parfait et évidemment il/elle doit me prouver qu'il/elle est à ma hauteur, payer le repas et me traiter comme un/e roi/reine.


une sortie à l'aquarium, au zoo, ou quelque chose dans le genre. j'aime bien les musées, aussi.


un rendez-vous à deux couples ! c'est toujours amusant, et puis ça permet de briser la glace. et puis de toute façon, il/elle doit être capable de bien s'entendre avec mes amis.


un parc d'attraction ou quelque chose dans le genre ! dans ma tête, je le vois parfaitement. tomber amoureux dans une auto tamponneuse, c'est trop romantique.


laquelle de ces séries de mots t'inspires le plus ?



joli, sot, adroit, comique, absurde.


beau, con, calé, marrant, farfelu.


sexy, débile, malin, risible, insensé.


ravissant, inepte, doué, divertissant, irrationnel.


mignon, bête, fort, drôle, saugrenu.


que fais-tu à minuit ?



en quoi ça te concerne ?


c'est quoi cette question ? PARTY !


je dors, au chaud dans mon lit, avec Caramel, mon chat de race, et mes chaussettes de nuit venues de Norvège.


encore une qui s'est faite larguée, elle a besoin de moi pour la réconforter...


je dors, j'ai un examen demain.


tes notes de cours sont plutôt...



il me manque quelques notes ici et là, parce que j'ai séché ou parce que je... dormais (bah quoi) mais sinon c'est plutôt bien ! comme on dit, je me retrouve dans mon bordel.


je n'aime pas trop les écrire moi-même, généralement je demande à un camarade de me les faire en double pour ne pas abîmer mes jolis doigts, mais elles doivent être parfaites et claires.


un peu pêle-mêles je dirais, mais de toute façon la veille de l'examen, nous faisons généralement une soirée d'étude tous ensembles et... ce qui n'est pas tout à fait clair est donc résolu le soir même.


les pages sont numérotées et mon cahier est divisé par chapitres, tout est soigneusement classé et soigné pour me retrouver rapidement et efficacement.


qui a besoin de notes quand on a des manuels à la bibliothèque, sérieux ?


niveau popularité, tu es plutôt...



populaire ? peut-être.. peut-être pas, en fait, je m'en fiche, tant que j'ai tous mes amis. avoir beaucoup d'amis c'est être populaire ? je les aime tous !


être populaire c'est pas ce qu'il y a de plus important, faut plutôt choisir ses connaissances selon ses besoins sociaux.


j'aime bien être populaire auprès des nanas/des mecs mais sinon, j'en ai un peu rien à foutre.


je suis souvent celui qui donne un sens à la fête, certains disent que je suis surprenant, innovateur... et parfois - ne les écoutez pas - certains disent que j'en fais trop. parlez en bien, parlez en mal... je reste votre sujet favoris ! déjanté ? fortement. populaire ? absolument.


popularité ? c'est mon deuxième nom. tant que mes fans me lèchent pas trop les pieds, qui sait quels microbes ils peuvent ramener...


tu fais face à un problème, tu...



je réfléchis rapidement à toutes les solutions s'offrant à moi, et je choisis celle qui s'avère être la plus efficace et celle qui a le plus de chance de réussite. avec tout ce que j'ai retenu sur le plan théorique, la pratique ne devrait pas être trop difficile.


j'agis.. et ensuite éventuellement lorsque je suis dans de beaux drap, j'espère très fortement que la personne avec moi a pensé à son propre plan. sinon, j'ose espérer m'échapper de façon spectaculaire !


j'analyse. si c'est un adversaire, je vise les points faibles. si c'est une situation où je doute pouvoir m'en sortir, je détourne ou déforme la réalité pour m'en sortir.


pas question que je me foutes dans la merde. c'est les autres qui se salissent les pattes, moi, je ne m'en mêle pas.


je réfléchis en premier lieu. si je ne peux régler la situation seul, je ne ferai pas le gamin !



note : cette section ne concerne pas ta répartition.



ta baguette est plutôt...



très attachée à toi et refuse généralement d'effectuer des sorts de magie noir.


très puissante et dangereuse, elle semble apprécier les sorts de magie noir et apprend très rapidement.


effectue une grande variété de magie mais apprend très lentement et est difficile à contrôler.


tu décrirais ta magie comme...



contradictoire, conflictuelle. (elle ne m'obéit pas, elle est plus efficace envers le type de sorts qui ne me conviennent pas mais puissante.)


performante en duels et en sorts défensifs.


difficile à contrôler et/ou un peu/très dangereuse.


loyale mais très peu flexible, à l'écoute de mes besoins.


capricieuse, mais très fidèle. (elle me joue beaucoup de tours mais m'est très loyale)


plutôt performante en métamorphose, loyale.

je suis plutôt...



fermé d'esprit avec un style de magie très sélectionné.


fermé d'esprit avec un style de magie considéré comme normal.


fermé d'esprit avec un style de magie très excentrique.


plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie très sélectionné.


plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie considéré comme normal.


plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie très excentrique.


très ouvert d'esprit avec un style de magie très sélectionné.


très ouvert d'esprit avec un style de magie considéré comme normal.


très ouvert d'esprit avec un style de magie très excentrique.



Hiver 1990. Dans le calme de la nuit claire, les gens, bien au chaud dans leurs maisons, se préparent avec allégresse à fêter la fin d’une autre année. Seul le bruit de pas précipités vint troubler le silence nocturne. Dans une ruelle à peine éclairée par la lueur diffuse des lampadaires, une jeune femme cours. Elle est belle et ne doit pas encore avoir trente ans. Le souffle court, elle jette des coups d’œil furtifs et anxieux derrière elle. Elle est poursuivie. Elle le sait. Tout comme elle sait qu’elle n’échappera pas à ses poursuivants. Ce n’est pas son but. Elle laisse regard se poser tendrement sur le petit paquet bien enveloppé dans de chaudes couvertures, et le resserre un peu plus contre elle et continue sa course. Bientôt, elle arriva devant une vaste bâtisse. Un couvent. Elle déposa un baiser sur le front de l’enfant endormi entre ses bras, avant de le déposer à terre, sur le pas de la lourde porte d’entrée. Elle glissa une lettre et un médaillon entre les couvertures et sortis une baguette en murmurant quelques mots. Elle se recula de quelques pas et posa son regard sur la grande croix ornant l’entrée du couvant, avant de fermer les yeux en une prière silencieuse. Puis, elle tourna les talons et repris sa course, s’engouffrant dans les ténèbres de la nuit qui la happèrent…

Somewhere in the distance the hounds were howling out a mournful song.

La lune ronde et pâle restera à jamais seule témoin de ce qui ce passa cette nuit-là. La seule à voir et à entendre le dernier cri poussé avant le silence pesant et le bruit étouffé d’un corps qui s’effondre, sans vie. Et le lendemain, alors que l’aube poindra, comme chaque matin, une sœur viendra ouvrir la large porte du couvent et découvrira sur son pas l’enfant endormi pour quelques instants encore et qui ignore encore tout du monde et de la cruauté des hommes…

*********************************

21 ans plus tard. «Je m’appelle Nak Bin, j’ai vingt-et-un ans. Je suis une orpheline, je n’ai jamais connu mes parents. Ils sont morts peu de temps après ma naissance. Enfin, il serait plus juste de dire qu’ils ont été tués. Le dernier acte d’amour de ma mère fut de me protéger pour que je n’aie pas à subir le même sort qu’eux. C’est ainsi qu’une novice à eu la surprise de me découvrir un beau matin, endormie devant la porte d’un petit couvent moldu de campagne dans l’arrière-pays… »

Do you know that hope is fake in this world and despair is the only truth I've got?

« D’aussi loin que je me souvienne, il y a toujours eu le couvent, sa petite chapelle blanche, les jardins aux milles senteurs, la vieille bibliothèque pleine de poussière, les cuisines toujours animées, les éclats de rires des novices pas encore très sages, les sœurs qui s’affairaient à gauche et à droite… Et puis il y avait la Mère Supérieure et Sœur Na Yung –l’ancienne novice qui m’avait trouvée-, les deux personnes les plus importantes pour moi. C’était là mon univers, le petit monde qui m’a vu évoluer durant les dix premières années de ma vie. Le couvent était pour moi un havre de paix et mon sanctuaire. En ce temps-là, je n’aspirais à rien d’autre que de pouvoir rester là pour toujours. Je voulais passer le reste de ma vie entre les murs protecteurs du couvent qui m’avait vu grandir et devenir une sœur comme ces deux femmes que j’admirais et aimais plus que tout au monde. C’était naïf et enfantin, je sais, mais pour moi c’était la chose la plus importante au monde. Mon rêve. Mon seul et unique vœu. Je sais que la Mère Supérieure aurait préféré que je m’intéresse davantage à l’extérieur, mais cela ne m’a jamais intéressé, car il ne m’a jamais traversé l’esprit, pas même un instant, d’être un jour obligée de quitter l’abri douillet du couvent. Je préférais lire des livres à la bibliothèque, prier dans la chapelle, m’occuper à jardiner ou à rendre service en cuisine ou ailleurs. J’étais bien ici, j’avais tout ce dont j’avais besoin, une maison, une famille, de la nourriture, de l’affection, alors pourquoi aurais-je dû désirer autre chose ? Même si la véritable raison pour laquelle je ne cherchais pas à connaître « l’extérieur », c’était parce qu’il m’effrayait. Je n’y étais pas à l’aise et je ne m’y sentais pas à ma place contrairement au couvent. Sans doute cela était-il dû au fait que j’étais différentes des autres et que j’en étais parfaitement consciente…
Je n’aimais pas l’école. Non pas que je fus une mauvaise élève, bien au contraire, mais disons que je ne m’entendais pas avec les autres enfants de mon âge. Ou plutôt, ils ne m’aimaient pas vraiment. Orpheline, sans maison, bizarre, différente, anormale, sorcière, monstre… Je ne compte plus le nombre de fois que j’ai entendu ces mots dans ma jeunesse. Le mépris parce que j’étais une orpheline et que mes cheveux plus clairs que la moyenne rendaient mes origines incertaines. Je les ai d’ailleurs longtemps détestés avant de connaitre leur origine. Et puis il y avait aussi la méfiance et la peur, parce qu’il se passait parfois des choses étranges et inexplicables autours de moi. A l’époque je ne comprenais pas plus que les autres de ce dont il s’agissait, mais la seule chose dont j’étais certaine, c’était que cela ne creusait que davantage le fossé entre moi et eux. Ainsi, je passais le plus clair de mon temps seule, même si j’aurais préféré qu’ils m’ignorent totalement plutôt que d’avoir à subir leurs railleries. Oh, je ne mentirais pas en disant que je n’ai pas été envieuse d’eux et que je n’aurais pas aimé avoir moi aussi un ou deux amis. Mais bon, que pouvais-je y faire ? En y repensant maintenant, cela me fait sourire cat je ne peux m’empêcher de penser que si ces idiots avaient su à l’époque à quel points ils étaient proche de la vérité, il y en aurait sûrement plus d’un qui aurait mouillé son pantalon. Mais la fillette naïve, sensible et innocente que j’étais à l’époque à souvent versé des larmes à cause des paroles blessantes et du rejet des autres enfants. Et malgré les paroles rassurantes de la Mère Supérieure ou de Sœur Na Yung, cela n’apaisait guère mes meurtrissure, pas plus que leur piques m’en blessait moins. Pourtant, malgré tout ça, je ne me suis jamais, pas même un instant, considérée comme étant malheureuse. Et cela m’aurait suffit juste de voir les jours continuer de s’écouler ainsi. Pourtant les choses ne se passent pas toujours comme on l’espère… »

Dark side in my heart is a grief from the past that cannot be wiped away.

« 24 octobre de l'an 2000. Ou le jour où ma vie bascula. C’était le jour de mon dixième anniversaire. Les sœurs avaient décidé d’organiser une petite fête pour l’évènement. Elles firent d’ailleurs une petite folie et m’offrirent une magnifique robe brodée vert d’eau. J’étais heureuse, car je savais que cette petite merveille avait dû leur coûter une fortune alors qu’elles n’avaient pas. Sœur Na Yung m’avait aidé à la revêtir avant de m’entrainer vers la salle à manger où m’attendait un véritable festin. Les cuisinières s’étaient surpassées et le diner se déroula dans la joie et la bonne humeur la plus totale. J’étais aux anges. Cette journée parfaite qui aurait dû le rester, ne se termina pourtant pas de la manière dont j'espérais. J’ai vu avec horreur cette soirée tourner au cauchemar en quelques instants…
Mes souvenirs de ces instants sont à la fois très flous et très clairs. C’est très étrange je sais, mais aujourd’hui encore j’ai l’impression d’avoir assisté à cette scène sans en faire partie… Tout commença par l’éruption d’une sœur paniquée dans la salle, qui cria quelque chose que je ne saisis pas aux autres. Je me souvient ensuite du mouvement de panique qui s’empara de l’assemblé et de la Mère Supérieure qui se leva pour lancer des ordres aux sœurs pour tenter de ramener un peu de d’ordre, puis quelqu’un qui me tira par la manche. Sœur Na Yung. Elle me demanda de la suivre et m’entraina à sa suite, de manière précipitée, jusqu’à la bibliothèque du couvent. Là, elle vida une partie du contenu de la vieille armoire en bois avant de se ressaisir de a main pour me pousser à l’intérieur du meuble. Avant que je n’ai pu protester elle me somma de me taire et me fit jurer de ne pas bouger, ni faire de bruit quoi qu’il arrive et de rester sagement dans l’armoire jusqu’à ce qu’elle vienne me chercher.
Après ça, elle quitta la pièce en prenant soin de fermer l’armoire à clef. Quelques instants plus tard, un bruit assourdissant se fit entendre. C’était comme si quelque chose d’immense venait de se fracasser au sol. Suivit les cris de terreur des sœurs, puis d’autres bruits d’objets qui se cassent, ainsi que d’autres voix, grave, masculine qui hurlaient par-dessus le vacarme ambiant. C’était le chaos le plus total. C’était la seule chose que je savais de ma petite armoire qui ne me permettait pas d’en savoir davantage sur ce qu’il se passait. Soudainement, la porte de la bibliothèque s’ouvrit avec fracas et ce que je devinais être un homme pénétra à l’intérieur, suivit de plusieurs sœurs qui l’avaient talonné. Je reconnu la voix de Sœur Na Yung parmi elles et avant que je ne puisse comprendre quoi que ce soit j’entendis et sentis quelque chose venir s’écraser violemment contre la porte de l’armoire où j’étais cachée. Les sœurs crièrent, il y eu du bruit, quelques éclats de lumière étranges, puis plus rien. L’intrus quitta la pièce et la pagaille continua encore un moment avant que le silence le plus total ne retombe.
Après cela, je ne sais pas combien de temps je suis restée là, immobile à attendre. Sans doute suffisamment longtemps pour que la fatigue prenne le dessus sur la peur. Quand je rouvris les yeux, la première chose que je remarquai, fut l’odeur nauséabonde qui régnait et qui me souleva l’estomac. Un bruit de pas se fit soudainement entendre. D’instinct je tentais de reculer avant de me heurter au fond de l’armoire dans un petit bruit étouffé qui ne passa pas inaperçu pour ce nouvel intrus. « Hey ! Y a quelque chose dans cette armoire ! », cria-t-il, signifiant ainsi qu’il n’était pas seul. Il s’approcha, sembla dégager quelque chose en le trainant sur le sol, puis un petit déclic de serrure se fit entendre et les portes de l’armoire s’ouvrirent à la volée, découvrant un homme pointant sur moi une baguette dont le bout émettait de la lumière, et qui semblait tout aussi choqué que moi. « Une gamine ?! » Une autre voix, féminine cette fois s’éleva et sa propriétaire s’approcha de l’homme qui s’était accroupi. Ils tentèrent ensuite de me rassurer et de me convaincre de sortir à grand renfort de paroles rassurantes, mais je me recroquevillais le plus possible sur moi-même au fond de l’armoire. Ce n’est que quand un troisième personne fit irruption et que les deux autres bougèrent que je vis ce qui se trouvait derrière eux. Mes yeux s’agrandirent d’horreur et tout mon corps se mit à trembler alors que je criais un seul nom en me précipitant hors de l’armoire. Là, gisait inerte, le corps ensanglanté et sans vie de Sœur Na Yung. Les occupants de la pièce avaient été trop surpris pour me stopper et entre temps, d’autres étaient arrivés et se mirent à parler en chuchotant. Pourtant les quelques bribes de leur conversation que je captais me glacèrent le sang. « Un vrai massacre », « horrible », « aucun survivant », « juste la gosse » En entendant ça, je rassemblais ce qu’il me restait d’énergie pour me ruer hors de la pièce sans que ces gens ne puissent me retenir et sans que j’écoute ce qu’ils me crièrent. Ce n’est qu’un spectacle d’horreur qui m’attendait dans la grande salle. Du sang. Partout. Et les corps inertes des sœurs. Je ne pu retenir un haut le cœur qui vida mes trippes de leur contenu et me fit tomber à genoux. Puis, je repérai le corps de la Mère Supérieure. Je me trainais à quatre pattes jusqu’à elle salissant mes mains avec ce liquide poisseux qui avait déjà commencé à sécher. Le vert d’eau soyeux de ma jolie robe toute neuve se teinta d’un carmin sale… Je ne sais pas quand mes larmes avaient commencé à couler, et entendis à peine le cri de désespoir qui m’échappa. Mon monde venait de s’effondrer sous mes yeux sans que je ne puisse rien y faire. »

Crumble all things I believe, every day to see a dark reality.

« Après ça, plus rien. Le noir et le néant total. Quand j’ai repris conscience, je me trouvais dans un endroit que je ne connaissais pas et mon premier réflexe fut de rassembler mes souvenirs. Mauvaise idée puisque tout ce qui c’était passé me revint vivement en mémoire comme si cela venait juste de se passer. J’essuyais une nouvelle vague de nausée et me leva pour tituber jusqu’à la porte branlante de la pièce. Je finis par m’effondrer au beau milieu de ce qui devait être un salon, fixant vaguement une porte devant moi. Puis, mue par un fol espoir je me relevais. Vous savez le genre d’espérance futile que vous avez lorsque vous avez déjà compris mais que vous refusez d’accepter, ce dernier espoir de désillusion que tout ira bien, que rien n’était réel, que ce n’était qu’un mauvais rêve et qu’il suffisait de se réveiller pour que tout rentre dans l’ordre. C’est ainsi que je me précipitais à l’extérieur en robe de nuit, pieds nus dans le froid et la pluie automnale. Je n’allai cependant pas bien loin, me rendant vite compte que je ne savais pas où aller et d’autre part, on m’agrippa soudainement l’épaule avec force. Et avant même que je n’ai eu le temps d’être surprise, une gifle monumentale qui me déboita presque la mâchoire, m’envoya valser plusieurs mètres plus loin.
Ce fut ma première rencontre et mon premier contact avec le curieux -et pas vraiment politiquement correct- personnage qui allait devenir mon mentor. Ma première impression de lui fut… mauvaise. Evidemment. La première gifle de ma vie –que je n’étais pas sûre de mériter, soit dit en passant-, ainsi que la première fois où je me faisais remonter les bretelles. Il ne mâcha pas ses mots et ne prit pas de gants pour me dire très clairement que ce que j’avais vécu au couvent était bien réel et que tout le monde avait été massacré et que de ce fait je me retrouvais ici et que j’y resterais jusqu’à nouvel ordre. Que cela me plaise ou pas. Point. Fin de l’histoire et de la discussion. De prime abord, j’ai immédiatement détesté ce personnage bourru et cynique. Je suis donc rester dans ce qui me servait désormais de chambre dans le taudis organisé qui lui servait de maison, et j’y passais mes journées à m’y morfondre. Et cela nous convenait à l’un comme à l’autre de ne pas avoir à se supporter. Pendant un long moment je n’ai presque rien pu avaler, nourriture comme liquides. Mon estomac rejetait toute substance qui était introduite dans mon organisme. Mais bon, compte tenu de ce que j’avais vécu, que pouvait-on bien espérer d’autre ? Entre temps, des gens, dont deux que je reconnu comme de ceux que j’avais vu au couvent après le massacre, virent nous rendre visite. Non pas spécialement pour voir leur « camarade », mais davantage pour s’assurer que j’allais bien et que je n’étais pas mal traitée. La fin des visites se terminaient généralement par des éclats de voix des deux parties. C’était devenu une nouvelle routine, et bien qu’on me demanda parfois si je ne préférais pas aller vivre avec l’un des visiteurs, j’ai toujours refusé. Ca peut paraître idiot mais, même si je n’appréciais pas particulièrement cet homme rude avec qui je vivais, il ne m’était pas non plus vraiment antipathique. De plus il me laissait tranquille et plus important encore, le regard qu’il portait sur moi était dénué de tout jugement et surtout, de toute pitié. Voir de la pitié dans les yeux de mes visiteurs me donnait la nausée. De plus, à cette époque je ne voulais pas d’un foyer douillet. Cela n’aurait fait qu’attiser ma douleur et j’aurais eu l’impression de trahir la mémoire des sœurs du couvent.
Il faut aussi savoir que j’ai passé les mois qui suivirent sans prononcer un mot. Quand j’avais essayé de parler pour la première fois après l’incident, ma gorge était restée muette. Peut-être d’avoir trop crié et pleurer, ou peut-être aussi à cause du choc… Quoi qu’il en soit, je ne parlais plus et j’étais à peine mieux qu’une loque. J’avais perdu beaucoup de poids et j’étais apathique à tout. Sans doute mon mentor a-t-il finit par se lasser de mon silence car il me mit un beau jour les points sur les « i » en me demandant combien de temps je comptais encore me morfondre. Si sur le coup je n’ai pas réagit, ce qu’il m’a dit avait fait son petit bout de chemin dans mon cerveau et quelques jours plus tard, je reparlais pour la première fois depuis plusieurs mois. Je fus d’ailleurs surprise d’avoir été capable d’émettre un son. « Qui et pourquoi ? » Furent mes premières paroles. Et si mon mentor fut surpris parce cette question à multiple sens, il n’en montra rien. Il chercha plutôt par où commencer, et opta pour la manière la plus simple de le faire : se présenter. Ah oui, vous ne le saviez peut-être pas, mais nous avons vécu plusieurs mois sous le même toit sans même nous présenter l’un à l’autre, même si je savais déjà son nom de nos visiteurs.
Paik Dong Jong, quarante-sept ans, sorcier et ancien Auror. J’ai appris plus tard qu’il avait du rendre le tablier à cause d’un ministère mécontent. Il faut dire que Dong Jong n’est pas du genre à rentrer dans le rang. Pas très obéissant et opérant sans se soucier d’heurter ou non la bonne morale, flirtant avec les limites du politiquement correct et ayant une ou deux petites affaires et connaissances douteuses, tout cela avait fait que l’indulgence de ses supérieurs avait atteint ses limites. Dong Jong lui dirait que c’est juste parce que ces abrutit de l’administration ne voient pas plus loin que leur binocles et qu’il les verrait bien sur le terrain pour voir s’ils diraient encore la même chose.
J’ai aussi appris que Dong Jong connaissais bien mes parents. Mon père et lui avaient été à l’école ensemble et s’étaient retrouvé plus tard pour le travail. Ils s’entendaient comme cochons et faisaient d’ailleurs souvent équipe. C’était un sorcier et un Auror lui aussi. Ma mère, elle, tenait l’herboristerie dans laquelle les deux compères allaient se fournir. Elle n’était pas une sorcière, mais elle n’était pas une moldu non plus. C’était une créature magique, une Vélane, un de ces être capable de charmer les hommes d’un seul geste et de les rendre fous. Et le plus drôle dans l’histoire, c’est qu’à ma naissance, la personne qui avait été choisit comme parrain, n’était autre que Dong Jong lui-même.
Quoiqu’il en soit, peu de temps avant ma naissance, mon père, Dong Jong –encore en activité à cette époque- et plusieurs autres de leur collègues avaient été chargés d’une sordide affaire, qui avait finit par mal tourner. Le chasseur était devenu proie et les uns après les autres, les Aurors chargés de l’affaire avaient été abattus. Les survivants, dont mes parents et Dong Jong avaient décidés de se cacher pour se protéger. Mais hélas, au final pour un certain cela ne fut pas suffisant. C’est ainsi que la trace de mes parents avait été retrouvée et qu’à défaut de pouvoir se défendre, ils avaient préféré mettre toute leur énergie à protéger leur enfant nouveau-né. C’est ainsi que je m’étais retrouvée devant la porte de ce couvent moldu des années auparavant. Pourtant, ce que je ne m’attendais pas à découvrir, c’était que la Mère Supérieure fut une Cracmol reconvertie en religieuse et une vieille connaissance de mon père. Je m’étais toujours doutée qu’elle ne me disait pas tout et qu’elle en savait plus long qu’elle voulait bien le laisser paraître, mais de là à deviner qu’elle savait tout jusqu’à mes origines sorcières…
Moldu, Cracmol, Auror, Vélane… Tout ces termes qui au départ ne me disaient rien me furent expliquer par Dong Jong qui me fit même une petite démonstration, baguette à la main pour me prouver qu’il ne me racontait pas de salade en affirmant que la magie et les sorciers étaient bien réels. Après ça, je passais plusieurs jours à réfléchir. D’une part j’avais besoin d’assimiler et accepter mes origines, car cela faisait beaucoup d’un coup, c’était un peu trop… gros pour que la pilule ne puisse passer comme ça. Mais au moins ça expliquait les phénomènes étranges qu’il se produisait parfois autour de moi. Et d’autre part, en ressassant le récit de mon mentor, je n’avais pu empêcher une seule question, une hypothèse dans mon esprit. En assemblant bout à bout l’histoire de mes parents, les origines sorcière de la Mère Supérieure et l’attaque du couvent, je ne pouvais m’empêcher de me demander : et si tout ça n’avait rien d’une coïncidence ? Pourtant, peu importe le nombre de fois que j’interrogeais Dong Jong à ce sujet, il restait toujours muet comme une tombe. Je n’étais pourtant pas décidée à abandonner. Et alors que je prenais ma décision, je changeais de tactique. Dong Jong ne s’attendait certainement pas à ce qu’un beau jour je lui demande de but en blanc de m’apprendre la magie. Au moins ça aura eu le mérite de lui faire recracher son whisky Pur Feu. Quand il me demanda pourquoi et que je lui répondis que j’avais l’ambition de devenir Auror, je crois qu’il a immédiatement compris mes intention. Je ne voulais pas devenir une personne au service de l’ordre de la communauté magique, non, je n’avais que faire de tout ça. Moi ce que je voulais, c’était découvrir la vérité derrière le massacre du couvent et puis mettre la main sur les coupables pour faire ma propre justice. Cela n’avait rien de noble. C’était juste une vengeance tout ce qu’il y a de plus laid et je savais que ce ne serait pas facile de devenir Auror. Il me faudrait d’abord exceller dans mes études. Si j’en croyais mon mentor, je recevrais une lettre d’une prestigieuse école de magie pour mon quinzième anniversaire. Après… It’s up to me, comme on dit.
Quoi qu’il en soit, il ne répondit pas tout de suite à ma requête et il se passa plusieurs jours avant qu’il ne dépose soudainement devant moi une haute pile d’épais bouquins. Tous concernaient la magie. C’est ainsi que commença mon initiation, non sans remous. D’une part les deux Aurors qui m’avaient trouvés en premier au couvent et qui continuer de venir me voir régulièrement, n’avaient pas vu cette initiative d’un bon œil. Et d’autre part, les premiers essais en magie d’un sorcier peuvent être parfois… explosifs. Oui, c’est le cas de le dire. Oh bien sûr, je n’apprenais rien de très grand, d’autant plus que l’usage d’une baguette m’étais formellement proscrit. Même si j’ai un jour brisé cet interdit et fait voler en éclat toute la verrerie de la maisonnée, ce qui me value la deuxième claque de ma vie. Et celle-là je la méritais. Je dus donc mettre en attente mon impatience de pouvoir tenir une baguette pour m’essayer aux sortilèges. Mais en attendant, je me passionnais pour autre chose : la botanique et les potions. Je suis plutôt fière de dire que je connais sur le bout des doigts un nombre impressionnant de plantes ainsi que chacun leurs effets et usages. Tout comme je me trouve plutôt douée en potion, notamment pour les poisons, mais ça, ça reste entre nous.

C’est comme ça que j’ai retrouvé petit à petit goût à la vie. Je n’en oubliais pas mon objectif pour autant, mais je me laissais aller à être fascinée par le monde sorcier. Tout était si différents de chez les moldu et puis ici, les gens ne me regardaient pas de travers et ne me pointaient pas du doigt. Au contraire, quand Eun Jung –une des deux Aurors qui me visitaient régulièrement- m’emmenait faire du shopping dans les coins populaire, on ne tarissait pas d’éloge à mon sujet : « Ah, qu’elle est mignonne », « Ah, qu’elle est polie », « Ah, qu’elle est charmante ». C’était une première pour moi d’être complimentée par d’autres personnes que les sœurs, ou Eun Jung et son acolyte. Dong Jong ? Complimenter lui ? Vous avez déjà vous un détraqueur cirer votre parquet vous ? Non ? Ben c’est pareil. Il n’est pas du genre à complimenter et s’il le faisait, vous devriez sérieusement vous interroger sur l’identité de celui qui vous fait face. C’est quelqu’un de rude, bourru et cynique jusqu’à la moelle. Mais je suppose que c’est ce qui fait son charme. Oui j’ai fini par m’attacher juste un peu à ce vieux grognon et au taudis qui lui sert de baraque, et je sais que c’est réciproque. Quoique, jamais on ne l’avouera ouvertement, on a notre fierté. On est plutôt des partisans de l’amour vache –au sens platonique du terme bien sûr- : on ne loupe jamais une occasion pour se faire un coup bas. Rien de très méchant, juste pour le plaisir d’embêter l’autre.
Bref, j’exultais et évoluais comme un poisson dans l’eau dans ce nouvel univers. J’étais devenue plus à l’aise à l’extérieur et avec les autres. Et même si le couvent resterait à jamais ma seule et unique maison, la baraque que je partageais avec mon mentor était devenue mon point d’attache. L’endroit où l’on revient se poser après avoir longtemps voyagé… Enfin quoique, vu le bordel ambiant qui y règne, et que si je ne prenais pas l’initiative de tout ranger et nettoyer régulièrement, je crois que j’aurais déjà finie ensevelie sous une pile de livre ou morte asphyxiée par l’odeur des chaussettes sale de monsieur. Enfin bon, que peut-on attendre d’un homme célibataire de sa trempe. Et ne parlons même pas de la cuisine. Personne sain d’esprit n’aurait l’idée de le laisser cuisiner et encore moins d’avaler ces… choses.
Mais quoiqu’il en soit, j’avais retrouvé un certain équilibre, même si je continuais à faire des cauchemars liés à cette nuit funeste. Lors d’une sortie en ville, j’avais même réussi à obtenir d’Eun Jung de me teindre les cheveux en brun foncé. Oui, malgré tout j’ai toujours rêvé d’avoir une chevelure sombre comme les autres, même si mes cheveux étaient un héritage de ma mère. Mais au moins je ne les détestais plus comme avant. Une nouvelle routine avait commencé à s’installer pour moi. Je n’allais plus à l’école, j’étais instruite « manuellement ». Et plus tard, mon mentor sachant que je ne craignais plus de me rendre seule à l’extérieur, ne s’est pas privé pour se décharger de certaines corvées, telle que les courses. Même si j’avoue qu’au début je n’étais pas trop chaude à cette idée. Non pas par esprit de rébellion, mais parce que si Eun Jung m’emmenait toujours dans les coins populaires, Dong Jong et moi habitions dans les bas fonds. Un lieu peu fréquentable et recommandable, surtout pour une jeune fille. La seule chose que mon mentor trouva à dire à ce sujet fut : « si quelqu’un te tombe dessus, frappe très fort et barre-toi ». Il en avait de bonne lui. Sauf que je ne m’attendais pas à ce qu’on me tombe vraiment dessus à ma première sortie, pas plus que je ne m’attendais à frapper aussi fort. A en juger par le bruit je lui ai surement cassé le nez à ce garçon, mais en même temps bien fait pour lui. C’est vrai quoi, qu’elle idée de barrer la route à une fille dans un endroit pareil. Après cet épisode, j’ai supplié Eun Jung de m’apprendre à me battre au corps à corps pour ma défense.

Au fil du temps, j’avais changé. Ou plutôt je m’étais découvert des aspects de ma personnalité que je ne me connaissais pas. Peut-être était-ce du à la vie humble que j’avais mené jusque là au couvent et qui n’avait donc pas permis à ma véritable personnalité de s’exprimer. Ou peut-être était-ce juste la mauvaise influence de mon mentor comme le faisait remarquer avec dédain Eun Jung. Je crois qu’elle ne s’est pas vraiment remise de la fois ou venant me rendre visite, elle avait demandé ou se trouvait Dong Jong et que j’avais répondu le plus naturellement du monde qu’il était parti « tirer la crampe avec les dames ». Ca, au passage, c’était la troisième gifle de ma vie. Enfin, personnellement je pense qu’il s’agissait d’un peu de tout ça. Je ne nierais pas que l’environnement dans lequel on évolue influe sur nous, surtout dans les quartiers malfamés où règne la loi du plus fort en toute heure et à tout âge.
C’est pourquoi j’ai appris à me défendre avec mes propres armes. Il n’y a pas forcément d’avoir le plus gros gabarit ou les crocs les plus acérées pour dominer. Non. Une aiguille peut faire l’affaire, pour peu que l’on sache où piquer avec… De cette manière, j’ai fait de la rue mon terrain de jeu et mon territoire. Ma manière d’agir et mon caractère m’avaient d’ailleurs valu le surnom du « Scorpion ». Je trouve d’ailleurs qu’il me va comme un gant. Rien ne pourrait mieux me décrire. A la fois implacable chasseur et imprévisible prédateur. C’est un peu comme deux personnalités distinctes mélangées en une seule. Je suis quelqu’un avec une terrible dualité, ce qui me rend difficilement approchable, car au final on a plutôt du mal à m’appréhender et à me comprendre. On ne peut jamais être sûr de qui on a en face de soi : amie ou ennemie ? Réelle ou factice ? Vérité ou mensonge ? Quoiqu’il en soit, je fais en sorte de conserver le mystère, vu que je n’ai aucune envie de me dévoiler, pas plus que de laisser les autres deviner à quoi je peux penser.
Si en m’imposant dans le milieu de la rue je me suis fait autant d’admirateurs que de détracteurs, je n’en reste pas loin quelqu’un de profondément solitaire. J’aime pouvoir avoir ma paix, mon espace vital et ma liberté en faisant fi de tous les autres. Peut-être est-ce du à mes plus jeunes années, ou alors est-ce simplement là un trait de ma personnalité. Quoi qu’il en soit, peut importe le nombre de gens qui peuvent m’entourer, rares sont ceux que je considère comme mes amis et que je laisse par conséquent s’approcher de moi. Je n’aime pas beaucoup me mêler aux autres. Non pas que je n’aime pas les gens, mais autant je mets de la distance entre eux et moi, autant j’envie la proximité et les liens qu’ils peuvent avoir les uns avec les autres. Je ne suis pas forcément très douée pour ce qui est du relationnel et j’évite de ce fait que les choses ne devienne trop compliquées à ce niveau. Je crois savoir au fond de moi qu’il s’agit en fait d’une séquelle de cette nuit-là et que j’ai juste peur de perdre ceux qui me sont chers à nouveau. Alors j’évite de trop me rapprocher et tout va bien, même si je prends grand soin de mes quelques rares amis et protégés.
Et j’apparais généralement sous un visage neutre, calme, posé et détaché, mes facettes restent multiples et mes humeurs sont aussi changeantes que la météo. Caméléon ? Non pas vraiment. Je ne suis pas ainsi pour m’adapter à mon milieu, tout au contraire : je suis mes propres règles et convictions et je suis totalement « my pace ». Alors d’où vient cette capacité de changer du tout au tout en un instant ? De mon impulsivité et de mon imprévisibilité. Quoi d’autre. Je peux être la meilleure des amies, comme la pire des ennemies. Aussi indulgente que glaciale. Sans attaches quelconques et pourtant terriblement territoriale. Je-m’en-foutiste et pourtant très curieuse et aventurière. Difficile à atteindre mais dangereusement vindicative. Sincère ou manipulatrice. D’ailleurs les gens pensent souvent que manipulation et mensonge vont de paire. Pourtant je dirais que ce n’est pas tout à fait exact puisque pour moi l’art de la manipulation c’est de laisser quelqu’un croire quelque chose sans pour autant lui confirmer ou lui desaffirmer la chose en question. Après c’est de la faute à cette personne de s’être imaginer des choses sans base tangible… Mais je réserve généralement ce côté hypocrite de ma personnalité aux occasions où j’ai besoin d’obtenir quelque chose mais que je en peux le faire par moi-même. J’ai horreur d’être dépendante des autres ou de leur être redevable. Si je peux, je préfère faire les choses moi-même. Et même si je sais que je n’ai aucun scrupule à me salir les mains, à utiliser le chantage et la manipulation pour arriver à mes fins, je ne garde pas moins un certain code d’honneur. Par exemple, vous pouvez me confier un secret sans crainte et être sûr que je l’emporterais avec moi dans la tombe.
Autrement je suis plutôt directe. Je ne mâche pas mes mots, je suis extrêmement ironique et sarcastique, et je me moque pas mal des conséquences de mes paroles et actions. Sous mes airs je-m’en-foutistes, il faut savoir que je suis une très bonne observatrice et qu’en plus d’être plutôt intelligente et d’être terriblement perspicace, j’ai aussi une très bonne mémoire. Ainsi, rien de ce qui peut se dire ou se passer autour de moi, ne passe outre ma vigilance. Donc prenez garde à vos petits secrets, car dans le fond je me contre fiche des fais et gestes des autres, je garde cependant chaque bribe d’information que j’ai pu glaner dans un coin de mon esprit. Qui sait, ça pourra peut-être toujours me servir plus tard…
Du reste, je m’intéresse aussi vite que je me lasse. J’abhorre l’ennui et je vis au jour le jour, d’aventure en aventure. Un compagnon de route ? Pourquoi pas, pour peu qu’il (ou elle d’ailleurs) ait du caractère, de l’imagination et qu’il ne laisse pas l’ennui me gagner. Car je n’aurais aucun remords à le laisser sur le bord de la route s’il ne peut plus suivre le rythme ou qu’il ne m’amuse plus.
Oh, et savez vous qu’un scorpion peut être terriblement joueur ? Pour le pire comme pour le meilleur d’ailleurs. D’autant plus que je suis une très mauvaise perdante. Caractère de cochon et tête de mule, moi ? Tout à fait, et j’en suis même plutôt fière de mon sale caractère. Je n’ai rien d’un ange et je ne veux pas en être un, surtout depuis que j’ai tracé mon chemin.
Pourtant, les choses que j’aime n’ont pas changées, elles. Le calme d’une église, le silence de la nuit, les senteurs d’un jardin en fleur, la fraicheur d’une pluie salvatrice qui uni pour quelques instants les éternellement séparés, ciel et terre… »
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Dernière édition par Im Nak Bin le Jeu 29 Mar - 13:03, édité 19 fois
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Jeong Lucy
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Mesure 33 centimètres. Assez flexible, possède un cœur de plume de phénix et est en bois de cèdre. Les baguettes de cèdre sont exigeantes et ne choisissent jamais un maître trop naïf ou trop soumis. Elles aiment la force de caractère chez un sorcier, et ne se sentent à l'aise que dans la perspicacité. Un petit dicton dit qu'on ne peut pas berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et c'est on ne peut plus vrai. Ces sorciers sont également doués d'une grande loyauté, et il ne faut pas toucher aux êtres qu'ils chérissent sans s'attendre à une vengeance. Le cèdre est particulièrement adapté à la magie de duel, et les duellistes possédant une baguette de cèdre sont des adversaires dangereux.. n'allez pas les mettre en colère.
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeVen 16 Mar - 14:25

rebienvenue, so ?
EunHye, très très bon choix *-* fighting o/
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Im Nak Bin
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ma baguette : Elle mesure 22 centimètres, n'est pas flexible, possède un cœur de ventricule de dragon et est en bois de cèdre. Un vieux dicton dit qu'il est impossible de berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et ce n'est on ne peut plus vrai. En effet, le cèdre n'est à l'aise que dans le discernement et la perspicacité, et choisit son sorcier principalement en fonction de ces qualités-là. On retrouve également très souvent chez ces sorciers une très grande force de caractère, et un sens de l'amitié aiguisé - ils sont dignes de confiance et ne peuvent trahir ceux qu'ils chérissent. C'est une baguette de duel, et ce n'est pas recommandé de mettre son propriétaire en colère.. parce qu'avec elle, il part avec un très sérieux avantage.
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeVen 16 Mar - 14:33

Yup, and thank you ♥
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Jung Jeremiah
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ma baguette : mesure 28,7 centimètres, est plutôt flexible, possède un coeur de crin de licorne et est en bois de houx. Le houx est un bois de baguette rare doté d'une magie protectrice très puissante. Elles conviennent particulièrement bien aux tempéraments emportés ou impulsifs, et d'ordinaire, elles ont un gout prononcé pour des personnes en quête de quelque chose - quelque chose de difficile à atteindre préférablement, elles aiment les défis, bien souvent. Mais le houx est un bois instable, et la puissance d'une baguette de houx dépend fortement de son coeur. Celle-ci contient un crin de licorne, ce n'est pas une baguette meurtrière, il est vrai, mais sa magie est subtile et délicate, son coeur la rend également plus fidèle que la moyenne, elle s'attachera très vite à vous et ne vous laissera pas tomber.

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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeVen 16 Mar - 15:39

mais bienvenue! =D
J'adore Eunhye, c'est un super choix d'avatar franchement!
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Im Nak Bin
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ma baguette : Elle mesure 22 centimètres, n'est pas flexible, possède un cœur de ventricule de dragon et est en bois de cèdre. Un vieux dicton dit qu'il est impossible de berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et ce n'est on ne peut plus vrai. En effet, le cèdre n'est à l'aise que dans le discernement et la perspicacité, et choisit son sorcier principalement en fonction de ces qualités-là. On retrouve également très souvent chez ces sorciers une très grande force de caractère, et un sens de l'amitié aiguisé - ils sont dignes de confiance et ne peuvent trahir ceux qu'ils chérissent. C'est une baguette de duel, et ce n'est pas recommandé de mettre son propriétaire en colère.. parce qu'avec elle, il part avec un très sérieux avantage.
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeVen 16 Mar - 16:24

Thank you very much ♥
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Ahn Yong Hae
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patronus : Une méduse. Si, c'est possible. Peut-être pas très flippant, mais original (comment ça, le but c'est de faire peur aux Détraqueurs ?).
animal de compagnie : Une couleuvre (elaphe schrencki) du nom de Len.
my heart is : as free as the wind, drifting like a jellyfish in water. Je ne demande que du silence, et des Muses !
i'm feeling like : a Yogn coming from the Mir planet.
ma baguette : mesure 21cm, est moyennement flexible, possède un coeur de crin de licorne et est en bois de tilleul argenté. La baguette de tilleul argenté est très prisée pour sa beauté : comme son nom l'indique, elle est de couleur argent. cette baguette a la réputation d'avoir un don pour la légilimancie et la voyance, ce qui lui donne, de ce fait, un certain prestige. Possédant un coeur de crin de licorne, elle est très difficile à tourner au côté noir et sera très fidèle, son don pour ces deux arts mystérieux compensant son coeur un peu moins puissant.
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TO DO LIST :
Demander Mookyûl en mariage - parce qu'au fond, il n'y a que ça de vrai. Et qu'en plus, son oncle a systématiquement les meilleurs plans de la terre. Si ça, c'est pas une belle-famille potentielle en or...
Arriver à coincer Tara pour une séance de pose - soit, je suis au moins aussi peureux qu'elle de mon côté, mais le jour où je la chope, elle finira avec son haricot sur ma toile. Un point, c'est tout.
Enfin maîtriser 'Reparo' - parce que c'est bien sympa, le verre cassé sur le sol de la chambre, mais ça devient dangereux, là.
S'excuser auprès de Seo Ok - un jour. Peut-être. Mais pas demain, non, je le sens pas. Allez, on va se contenter de la surveiller de loin, ça fera tout aussi bien l'affaire.
Sécher les cours de Ryeo Won - on va éviter les situations gênantes pour tout le monde, hum ? C'était déjà suffisamment dur de passer à autre chose après son départ, hors de question de retomber dans le passé.
Essayer de passer plus de temps avec Heaven - sinon, la tension qu'il existe entre nous ne partira jamais totalement. En plus, il tourne beaucoup autour de ma padawan, ces derniers temps...
Ignorer Hyuk - c'est pas parce qu'il gravite en permanence autour de moi que je vais oublier l'ordure qu'il a aussi été avec Seo Ok, plus jeune. Sauf que lui n'a pas évolué, apparemment...
Enquiquiner Min Ji - non, vraiment, c'est beaucoup trop drôle de la voir se mettre dans tous ses états dès que je m'approche d'elle. Un vrai hérisson grincheux, cette gamine...


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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeSam 17 Mar - 15:23

OUAIS JE PEUX OFFICIELLEMENT TE STALKER LA VIE EST BELLE TRIPLE-OUAAAAIS *sort, se prend un tonneau dans le ventre au passage, pour finir en fonçant tête baissée dans la porte*

Re-bienvenue iciiiiii. RAWR (Je sens que je vais ponctuer toutes mes phrases par rawr, là). Tu vas nous refaire une fiche de la mort qui gère mémé dans les fougères-mèches de salamèches fluos qui va me faire tomber la mâchoire par terre, je le sais. RAAAWR. Et t'as bon goût pour tes avatars, as usual. RAWRAAAWR. Et il nous faudra un nouveau lien de la mort qui tue. RAWROURAAAAWR.

Bref. Je veux faire bref, succinct, court et synthétique, donc je vais m'arrêter là. D'toute façon, ça part déjà beaucoup trop loin sur msn, pas besoin de faire des pavés ici. Allez, juste un dernier RAAAAAAAAAAAAAAAAAAWR pour la route \o/
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Im Nak Bin
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeSam 17 Mar - 15:40

Espèce de méduse stalkeuse excitée comme un poulpe è____é

Rawrrrrrr... miaou toi même, d'abord, hein.
& Yeah, même si la fiche de Nak Bin sera dans un style différent de celle de... tu-sais-qui. Même que je vais te faire pleurer sans même avoir besoin de plonger la tête de Yogn dans un sceau d'ail. è____é J'suis bien inspirée alors je vais me lâcher. T'vas voir un peu.
Et puis d'abord, la mèche, l'est plus là. Mourue la mèche. Fini. Hop. Partie.
&& Of course que j'ai bon goût, tu crois quoi ? Allons, mon ami, qui suis-je ? Je suis la Capitaine Jack Sparrow, mmh. *pan*

Enfin bref, thanks, & RAAAAAWR
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Feng Jolinn
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ma baguette : mesure (plus que ta teub, ça c'est certain), 22,7 cm. elle est en bois de noyer et contient une plume de phénix. elle est également moyennement flexible, ce qui veut en clair dire, qu'elle est raisonnablement chiante. même si elle n'est parfois pas très facile à contrôler, je sais que si je lui demande elle pourrait très bien tuer pour moi car la petite peut se montrer très dangereuse quand elle en a envie et surtout qu'en j'en ressens le besoin. mais je l'avoue, si l'envie me prenait de vouloir tuer quelqu'un, ce n'est sûrement pas de ma baguette que je me servirais.
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeSam 17 Mar - 15:46

rebienvenue alors ♥ \o/
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Im Nak Bin
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double compte(s) : Lee Mookyûl
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patronus : un scorpion
animal de compagnie : un scorpion de race Heterometrus Spinifer nommé Antarès
my heart is : frozen
i'm feeling like : i'm cold and hollow
ma baguette : Elle mesure 22 centimètres, n'est pas flexible, possède un cœur de ventricule de dragon et est en bois de cèdre. Un vieux dicton dit qu'il est impossible de berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et ce n'est on ne peut plus vrai. En effet, le cèdre n'est à l'aise que dans le discernement et la perspicacité, et choisit son sorcier principalement en fonction de ces qualités-là. On retrouve également très souvent chez ces sorciers une très grande force de caractère, et un sens de l'amitié aiguisé - ils sont dignes de confiance et ne peuvent trahir ceux qu'ils chérissent. C'est une baguette de duel, et ce n'est pas recommandé de mettre son propriétaire en colère.. parce qu'avec elle, il part avec un très sérieux avantage.
wizard's spellbook :
I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies 1449q0x
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I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies _
MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeMer 28 Mar - 13:53

Merci ♥

Edit : Fiche -finalement- finie~ désolée du retard x3
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Jimmy L'octopus
Jimmy L'octopus

pseudo : jimmy !
avatar : jimmy lui-même. d'ailleurs, je me suis fait faire une teinture orange en l'honneur de notre défunt directeur. le orange était sa couleur préférée...
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my heart is : il y en a pour tous les élèves !
i'm feeling like : tristounet un peu, mais heureux de vous revoir...

I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies _
MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitimeJeu 29 Mar - 11:45

mmmh, je vois... tu seras à...

YONGWANG

Félication, tu viens de rejoindre les rangs de nos jaunes ! Nos fiers dragons sont réputés pour leur courage et un léger gout pour défier les règlements.. En tout cas, tu es tombé dans une maison où il faut avoir de la combativité, tu as intérêt à être à la hauteur ! ta baguette mesure 22 centimètres, est pas flexible, possède un coeur de ventricule de dragon et est en bois de cèdre. Un vieux dicton dit qu'il est impossible de berner le possesseur d'une baguette de cèdre, et ce n'est on ne peut plus vrai. En effet, le cèdre n'est à l'aise que dans le discernement et la perspicacité, et choisit son sorcier principalement en fonction de ces qualités-là. On retrouve également très souvent chez ces sorciers une très grande force de caractère, et un sens de l'amitié aiguisé - ils sont dignes de confiance et ne peuvent trahir ceux qu'ils chérissent. C'est une baguette de duel, et ce n'est pas recommandé de mettre son propriétaire en colère.. parce qu'avec elle, il part avec un très sérieux avantage. Celle-ci contient un ventricule de dragon, sa puissance est supérieure à la normale, maniez-la avec prudence.

demande ta chambre ; demande ton patronus ; fais ta fiche de liens
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MessageSujet: Re: I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies   I'm frozen in a deep winter sleep, lost between the truth and the lies Icon_minitime

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