impulsive, ce n'est pas peu dire. la jeune meili n'aime pas particulièrement être le centre de l'attention, mais qu'à cela ne tienne, elle aime bien, par contre, qu'on la complimente et que le sujet de discussion général soit tourné vers elle. disons simplement qu'elle aurait tendance à préférer passer inaperçue en cours de sortilèges, mais qu'à table, avec son cercle d'amis, elle aimera bien qu'on fasse remarquer à quel point sa nouvelle manucure est jolie ou sa nouvelle couleur de cheveux lui va à merveille. elle est un peu princesse, on ne le niera pas; elle aime la perfection et la justesse, la précision et la délicatesse, l'excellence et l'exquis, le champagne de la france et le luxe. mais il ne faut pas se méprendre; ce n'est pas pour autant qu'elle est... hautaine. bon, d'accord, si, elle est hautaine, mais c'est lorsqu'on apprend à la connaître - et qu'on s'acharne un peu pour le faire - qu'on découvre chez la jeune femme en devenir une personne relativement amicale. elle n'est pas des plus sociables et aime bien garder un mystère flottant autour d'elle, mais ça, évidemment... suffit de trouver ses points faibles pour que le mythe tombe, après tout.

curieuse, il serait presque d'un danger national de ne pas préciser à quel point la jeune meil peut devenir obsessive lorsqu'une chose l'intéresse suffisamment. ce garçon qui l'intéresse, a-t-il une petite amie ? il dit que non. dans ce cas, fréquente-t-il une autre fille ? et son cousin, pourquoi n'était-il pas dans sa chambre la nuit d'avant ? elle n'hésitera pas à vérifier les textos si le portable traîne quelque part, fouiller dans les papiers, ou poser des questions à toutes les personnes pouvant connaître de près ou de loin la personne visée. au moins, sa curiosité n'a pas que des mauvais côté; passionée par ses études, on imagine bien que tout ça vient de sa curiosité. elle aime toucher à tout, tout faire, tout pratiquer, tout connaître, et depuis que la jeune fille est scolarisée à akiwa, elle pourrait vous dire que le seul cours qu'elle n'a pas apprécié, c'est les cours de vol, trop portés sur le quiddich - sport de barbares, selon elle.